C'est une démarche qui serait vue en France comme un appel ouvert à la corruption, mais qui paraît naturel dans le paysage démocratique américain où les lobbys agissent avec plus de transparence, ou moins d'hypocrisie. L'ASCAP, la Sacem américaine, demande à ses membres de l'aider à financer des campagnes électorales pour que les vues du "copyright" soient toujours défendues contre celles, croissantes, du copyleft et des licences libres.
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